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Kabylie mon Amour, Kabylie pour toujours


Vingt ans de passivité et de laxisme, ne sont-elles pas de trop ? Alors que nous assistons à cette montée en puissance de l’islamisme et du salafisme en Kabylie. C’est durant la décennie noire que la nébuleuse s’est enracinée dans notre région. Le salafisme s’installe doucement, mais sûrement, comme le chantait notre idole Matoub, « ils infiltrent le pouvoir sur la pointe des pieds ».

En plus des mosquées qui polluent le ciel de la région, les islamistes s’occupent diaboliquement de notre progéniture à l’école. En effet, le corps enseignant est composé en grande partie de cette libellule.

Qu’apprennent nos enfants à l’école ?

À l’âge de sept ans les salafistes leur apprennent les règles de la toilette des morts, la méthode d’envelopper le défunt d’un linceul, les strictes règles de l’enterrement et j’en passe. Mais que peut-on attendre d’un gosse à qui l’on apprend la mort au lieu de lui apprendre la vie ?

Nos enfants d’aujourd’hui peuvent être nos ennemis de demain.

À l’université, les non Hidjabistes (femmes non voilées) sont approchées par des Hidjabistes (femmes voilées) soit dans les transports et même à l’enceinte de l’université pour les inciter à mettre le Hidjab. Ces filles sont payées pour islamiser notre société.  Elles ont réussi leur mission, puisque dans villes et village une grande partie de nos filles portent cette tenue vestimentaire importée d’ailleurs pour être imposée à nos filles.

Les jeunes et moins jeunes en Kabylie sont à la croisée des chemins. La montée du chômage et l’absence de loisirs facilitent le chemin aux salafistes pour leur recrutement. Si nous restons les bras croisés, nos enfants risquent de devenir un jour des bombes humaines.  Il nous appartient de prendre nos responsabilités avant qu’il ne soit trop tard.

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