20.9 C
Alger
jeudi 28 mars 2024
Accueil Blog Page 159

Le journaliste saoudien aurait été torturé et tué au consulat saoudien d’Istanbul

0

Citant des responsables turcs et américains, le Washington Post affirme que son collaborateur saoudien Jamal Khashoggi a été torturé puis tué au sein du consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, où il avait disparu mardi 2 octobre.

Vu publiquement pour la dernière fois mardi 2 octobre, le journaliste saoudien Jamal Khashoggi aurait été tué, selon les informations du Washington Post (en anglais) publiées jeudi soir. Il avait disparu après une visite au consulat d’Arabie saoudite à Istanbul, où il venait chercher des documents pour son mariage à venir.

Un commando dépêché à Istanbul. Le journal américain, auquel Jamal Khashoggi collaborait fréquemment depuis un peu plus d’un an, affirme que les autorités turques détiennent des preuves audio et vidéo de l’assassinat du journaliste dans le consulat saoudien, où l’on entendrait sa voix et celle d’hommes lui parlant en arabe, ainsi que des sons qui laisseraient entendre qu’il aurait été torturé.

« Les enregistrements montrent qu’une équipe de sécurité saoudienne a détenu Jamal Khashoggi dans le consulat, avant de le tuer et de démembrer son corps », écrit le Washington Post. Un « commando » de 15 personnes aurait d’ailleurs été dépêché depuis Riyad et serait arrivé dans la capitale turque le jour de la disparition du journaliste.

« Un air de ‘Pulp Fiction' ». Ce mardi 2 octobre, ils seraient arrivés dans deux vols séparés à Istanbul, logeant dans deux hôtels à proximité du consulat. Il aurait même apporté avec eux une scie à os, selon les mots d’un officiel turc au New York Times. « Un air de Pulp Fiction« , selon lui. Le corps démembré aurait ensuite été « mis dans des caisses avant d’être transféré par avion hors du pays », selon une source au Washington Post.

Washington et Istanbul continuent d’accuser Riyad, qui dément. Depuis dix jours, au début du mois, la pression de la communauté internationale s’est accentuée sur l’Arabie saoudite, à qui la Turquie et les États-Unis ont demandé des comptes à de nombreuses reprises. De son côté, Riyad continue de démentir l’assassinat du journaliste exilé aux États-Unis depuis 2017, tombé en disgrâce auprès du prince Mohammed Ben Salmane après avoir critiqué la couronne saoudienne dans ses écrits.

 

Source : Europe1

Youcef Zirem et « Les étoiles se souviennent de tout »

0

« Les étoiles se souviennent de tout »

C’est de ces étoiles qui sont loin d’être atteintes d’amnésie que l’écrivain, journaliste : Youcef Zirem nous parlera ce Dimanche 14 octobre 2018 à 15 h au café littéraire l’impondérable.

« Les étoiles se souviennent de tout » est le dernier roman de Youcef Zirem qui raconte l’histoire des Kabyles de Paris qui ont sauvé beaucoup de vies durant la Seconde Guerre mondiale.

Durant cette rencontre littéraire, Youcef Zirem fera la présentation de son ouvrage qui finira par une vente dédicace.

La rencontre aura lieu au café littéraire l’impondérable

320 rue des Pyrénées

– Métro : Jourdain.

– Ligne : 11.

– Bus : 26.

– Arrêt : Ermitage

Soyez les bienvenus, l’entrée est libre.

La rédaction

Francophonie : l’Arabie saoudite reporte sa demande d’adhésion à l’OIF

0

Quelques heures avant l’ouverture du sommet d’Erevan, l’Arabie saoudite a décidé de reporter sa demande d’adhésion à l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF). Cette décision devrait éviter un débat qui s’annonçait vigoureux entre les chefs d’État francophones.

La missive est parvenue à la présidence arménienne du sommet de la Francophonie et à la secrétaire générale de l’OIF mercredi 10 octobre, quelques heures avant l’ouverture du sommet d’Erevan.

Dans cette lettre, signée de l’ambassadeur d’Arabie saoudite à Paris, Khalid bin Mohammed al-Angari, et dont Jeune Afrique a obtenu copie, le royaume affirme vouloir « différer l’examen de sa demande d’adhésion à une date ultérieure ».

La demande d’adhésion de l’Arabie saoudite à l’Organisation internationale de la francophonie (OIF) avait été initialement déposée lors du sommet d’Antananarivo, en 2016, où son examen avait été une première fois reportée – officiellement car le dossier était incomplet. L’OIF a, depuis, envoyé une mission d’observation en Arabie saoudite, laquelle a rédigé un rapport à l’intention des chefs d’État francophones. Ces derniers devaient en principe étudier la candidature saoudienne lors du sommet d’Erevan, qui s’ouvre ce jeudi 11 octobre dans la capitale arménienne.

Un dossier épineux

Ce dossier s’annonçait toutefois comme l’un des plus épineux de ce sommet. Certains États africains, comme le Maroc et le Sénégal, sont favorables à l’adhésion saoudienne. Mais celle-ci apparaît en revanche inacceptable pour d’autres Etats, comme le Canada, en conflit diplomatique avec le royaume – son ambassadeur a été expulsé en août dernier.

Pour le Canada, qui a consenti à retirer son soutien à la secrétaire générale sortante de l’OIF, Michaëlle Jean, dans le duel qui l’oppose à la ministre rwandaise des Affaires étrangères, Louise Mushikibo, c’est donc un soulagement. Justin Trudeau, arrivé mercredi soir dans la capitale arménienne, va pouvoir aborder le sommet plus sereinement.

 

Ces routes qu’on ferme

0

Tant que les élus font dans le bricolage politique en se focalisant sur des futilités au lieu de s’attaquer aux véritables fléaux et maux de la société ! Tant que les élus ne prennent pas à témoin la population pour l’informer de ce qu’il est advenu des activités électives (réunions, bilans et missions) auprès des autorités hiérarchiques dès lors où tout baigne dans le doute et le floue la désintégration de la société ne feras que gagner du terrain. Une Route de quelque classification qu’elle soit n’est pas la propriété d’un groupe ou d’un village.

La démission de l’État, en plus de leur médiocrité, leur incompétence et une succession de tares fait dans la haine, l’arrogance pour plonger la population dans un pourrissement bien planifié. Le silence assourdissant et complice de l’état à tous les niveaux, s’installe finalement dans une stratégie des plus diaboliques qui est de faire payer à la Kabylie son refus de
courber l’échine ou de vivre sous la tyrannie des imposteurs. Le printemps noir de 2001 restera cet os au travers de la gorge de ces sanguinaires.

De la dégradation de notre quotidien (Kabylie principalement) les responsables de l’état en font leur label et leur marque de fabrique !! Cet autre questionnement qui demeure récurent est le fait que les brigades de gendarmerie ou de la sureté ne trouvent aucune difficulté à franchir ces barrages & quo; Le deal et la complicité sont manifestement aveuglants.

Voilà à présent pourquoi la population se doit de se prendre en charge dans l’urgence en restant éveillée et vigilante. Une des plus honteuses et aveuglantes mésaventures, vécue il y a deux ans, a été celle vécue par la population de la ville de Bejaïa et ses environs qui est privée d’eau depuis 10 jours, avec une panne des plus grotesques la conduite principale venant du barrage
de Tichi Haf rompue. Une conduite bricolée comme tous les projets mafieux du pays et qui a moins de cinq années.

Loin de cultiver la haine ou jouer au pyromane, je me pose la question une fois de plus à propos de la population qui reste silencieuse. Finalement, l’état a réussi son tour de force et sa stratégie de diversion avec des piqûres de rappel et des perfusions dans la somnolence et l’indifférence.

 

Bihmane Belattaf

L’authentique et l’illégitime

0
Lorsque le colon français a quitté l’Algérie, en 1962, le peuple qui a payé un lourd tribut pour retrouver son indépendance ne se doutait pas encore que cet oppresseur a implanté ses hoirs à sa place.

La joie, le bonheur et l’euphorie qui a rempli les cœurs des authentiques Algériens en cette année de l’indépendance n’ont pas duré longtemps. Une année après (1963) Hocine Aït Ahmed regagne le maquis pour combattre les successeurs du colonialisme français. Le combat était inégal, il fut vite arrêté et mis au cachot. Plus de 450 Algériens, tous, ancien moudjahid sont tombés au champ d’honneur sous les balles des voleurs de l’indépendance.

Depuis, une rivière de sang sépare la Kabylie des enfants de la France colonialiste.

Le printemps 1980 était le précurseur d’une dynamique et d’une intelligence inouïes de la nouvelle génération qui aspire au mieux a su comment déjouer le carnage que voulait semer les enfants de la France en Kabylie. Certes, c’est révolté, mais de manière pacifique. Le monde nous regardait, ces illégitimes ne pouvaient rien devant la volonté et la bravoure du peuple authentique.

Depuis, le panarabisme claironné par Boumediene et ses sbires est tombé aux oubliettes de l’histoire, même s’il a laissé derrière un islamisme radical. Aujourd’hui notre combat doit se retourner contre cette nébuleuse jusqu’à son éradication. Pour le reste, les générations futures prendront le flambeau afin de mener à terme notre juste combat.

 

 Ahmed Djenadi

La Marocaine Karima El Mahroug fera-t-elle tomber Cristiano Ronaldo ?

0

Après les accusations de viol portées par l’Américaine Kathryn Mayorga qui mettent à mal la carrière du joueur portugais Cristiano Ronaldo, une ancienne relation avec une Marocaine refait aujourd’hui surface.

Karima El Mahroug, connue en Italie pour avoir fait tomber l’ex-premier ministre Silvio Berlusconi dans le scandale dit de « bunga bunga », serait l’une des trois victimes présumées du joueur de la Juventus de Turin.

Agée de 17 ans à l’époque, donc mineure, la Marocaine aurait été payée en 2011 plus de 4.600 dollars pour avoir des relations sexuelles avec le joueur.

Lors de l’éclatement de cette affaire à l’époque, le joueur avait nié mais aujourd’hui, cette relation avec « Ruby » tombe mal pour le Portugais qui doit faire face à la forte pression médiatique et à l’inquiétude de plus en plus manifeste des (très) nombreux sponsors.

bladi.net

La Malaisie abolira la peine de mort

0

La décision du gouvernement malaisien d’abolir la peine de mort, a été saluée par les organisations de défense des droits de l’homme.

 

Le gouvernement malaisien a décidé de l’abolition de la peine de mort, a annoncé jeudi le ministre malaisien des Communications Gobind Singh Deo, une réforme d’emblée saluée par les organisations de défense des droits de l’homme.

«Le gouvernement est d’accord pour abolir la peine de mort», a-t-il dit à l’AFP. «J’espère que la loi sera bientôt amendée.»

La peine capitale, par pendaison, est actuellement prévue par la loi malaisienne pour toute une série de crimes allant du meurtre à l’enlèvement, en passant par la possession d’armes à feu et le trafic de drogue.

Le gouvernement a opté pour l’abolition en raison d’une opposition grandissante des Malaisiens à l’égard de la peine de mort.

«La peine de mort est barbare et d’une inimaginable cruauté», a déclaré dans un communiqué N. Surendran, de l’organisation de défense des droits de l’Homme Avocats pour la liberté.

Il a estimé qu’après avoir aboli la peine capitale, la Malaisie aurait l’autorité morale pour se battre pour les personnes condamnées à mort à l’étranger.

(afp/nxp)

Ennahar, ce média qui nous prend pour des idiots  

0

« Essehab El Baroud » ! Sortez vos fusils et tirez en l’air !

Groupes de tambourins, tapez vos tambours !

Danseurs et danseuses, mettez vos plus belles tenues !

Femmes d’Algérie, lancez vos youyous !

 

C’est euphorie, c’est l’extase, c’est le bonheur … !

 

Enfin un état de droit !

Enfin un État démocratique !

Enfin, un état où la justice est au-dessus de tout !

 

Oui, vous ne rêvez pas, je jure sur Ennahar TV, sur son journal et sur la tête de son directeur qui a tenu tête au plus puissant service de renseignement.

Annis Rahmani, puisque c’est de lui qu’il s’agit a pu ridiculiser nos services de renseignement qui sont parmi les plus doués et les plus rusés des services secrets au monde.

Oui, il a défié sans crainte ni peur un certain Samail, agent des renseignements, il a vaincu l’intelligence, la puissance, le professionnalisme et la ruse de nos services.

Avec son professionnalisme et ses compétences, il a pu piéger ce puissant corps en filmant ses agents lors de l’arrestation de son journaliste : Smaïl Djerbal.

Oui, le directeur d’Ennahar, le héros qui a brisé le mur de la peur, qui a prouvé que nous vivons dans un pays de démocratie et de la liberté de la presse sans que nous le sachions.

Grâce à l’héroïsme d’Ennahar et État de droit dans lequel nous vivons, le journaliste Smaïl Djerbal est libéré par ordre de justice.

La colère, la révolte et l’indignation me donnent une soif de cheval, je prends me verre et je vous laisse avec ces vidéos.

La rédaction

 

https://youtu.be/0imS5nsalHU

 

Les leçons du 5 octobre 1988

0

Quelles sont les conséquences et les leçons à retenir des événements du 5 octobre 1988 sur le parcours politique et social de l’Algérie ?

Octobre 1988 est la conséquence d’une gestion catastrophique des pouvoirs qui ont gouverné l’Algérie depuis l’indépendance à ce jour.

Les événements sanglants d’octobre 1988 qui ont fait plus de 500 morts n’ont pas permis  d’amorcer un vrai changement politique qualitatif qui permettra à l’Algérie de se mettre dans la voie du développement. Pourquoi ?

Car, les événements d’octobre n’ont pas été planifiés par l’élite d’opposition qui est capable d’aller jusqu’à la chute du régime ni repris la colère populaire comme c’était le cas en Tunisie, en Libye et en Égypte pendant les événements du printemps dit arabe.

En plus le pouvoir n’a pas hésité à utiliser les moyens de guerre et la torture pour réprimer les jeunes manifestants.

Même si les événements d’octobre, ont permet une ouverture politique temporaire avec la création de ce que la constitution de 1989 appelait « les associations à caractère politique » qui a permet la naissance des partis comme le RCD, le FIS et autres ainsi que la légalisation des partis comme le FFS et le PAGS.

Aucun changement réel n’a vu le jour après ces douloureux événements, car l’opposition a laissé les pleins pouvoirs au régime pour conduire les « réformes politiques ». L’obstacle majeur à l’émergence d’une opposition démocratique forte est la légalisation du FIS qui a su comment mobiliser tous les marginaux et les victimes du Chadlisme. Ce mouvement islamiste radical, violents et rétrograde avec le pouvoir totalitaire en place ont conduit l’Algérie à une guerre civile qui a décimé sont élite, ses intellectuels et tous ceux qui peuvent donner espoir au peuple martyrisé. C’étaient les hordes sauvages sorties du moyen-âge qui égorgeaient et éventraient hommes, femmes et enfants et de l’autre côté c’était les escadrons de la mort qui après leurs crimes se réfugiaient dans les casernes.

Après une décennie d’effroi, de sang, de larmes, les deux belligérants ont inventé « la réconciliation nationale » un moyen pour laver leurs crimes et leurs atrocités. Un pacte gagnant, gagnant, les islamistes ont pu regagner leurs foyers en toute sécurité et en toute impunité pour blanchir l’argent racketté durant les années de braises en l’investissant dans le marché de l’informel. Et le pouvoir a réussi à garder son trône en criant sur tous les toits que c’est grâce à sa « réconciliation nationale » que le sang du peuple à cesser de couler.

La leçon d’octobre que doit retenir l’opposition est l’adage qui dit : « Les guêpes ne produisent jamais du miel » et les pouvoirs autoritaires n’accouchent jamais de la démocratie  et que toute réforme amorcée par un régime dictatorial ne peut servir qu’à son salut et sa longévité.

 

َArezki Mamart

Irak: Meurtre d’un adolescent de 15 ans « soupçonné d’être homosexuel »

0

Hamoudi Al-Mutairi, un enfant né en 2003, originaire de la ville irakienne de Sadr, a été poignardé avec un couteau dans l’estomac jusqu’à ce que son intestin en sorte, car on le soupçonnait d’être homosexuel. Et le criminel a documenté son acte avec une vidéo publiée dans les réseaux sociaux. Dans quel monde de fous sans humanité vivons-nous ? 

Ses derniers mots étaient: « je veux voir ma mère »

Quelques jours après le meurtre en pleine rue de la mannequin irakienne Tara Fares, un autre crime violent choque les Irakiens: celui de Hamoudi Al-Mutairi, 15 ans. Si les autorités irakiennes n’ont toujours pas communiqué sur ce crime, plusieurs internautes, sur les réseaux sociaux, affirment que le jeune adolescent est mort car son assaillant le “soupçonnait d’être homosexuel”.

Selon le journal en ligne Stepfeed, le meurtre a été filmé et la vidéo diffusée sur les réseaux sociaux. Dans cette vidéo, on peut voir le jeune homme agonisant à terre et réclamant sa mère. La chaîne libanaise LBC affirme de son côté que le jeune garçon, né en 2003, a été enlevé dans le quartier de Yarmouk à Bagdad.

Depuis l’annonce de son décès, le hashtag #حمّودي_المطيري (Hamoudi Al-Mutairi) est devenu viral, plusieurs personnes réclamant une réaction des autorités et de la communauté internationale.

Ce nouveau meurtre intervient alors que le pays est en proie à une vague d’assassinats visant des personnalités publiques. Le 27 septembre dernier, Tara Fares, mannequin et blogueuse élue Miss Bagdad et Miss Irak en 2014, a été tuée après que des hommes armés ont ouvert le feu sur elle dans le quartier de Camp Sarah à Bagdad, la capitale irakienne. La jeune femme se trouvait à bord d’une voiture avec son petit ami. Un suspect a depuis été interpellé par les autorités irakiennes.

Un meurtre survenu quelques jours après celui de Souad al-Ali, une militante irakienne des droits humains qui a été abattue juste avant de monter dans sa voiture à Bassorah, dans le sud du pays. Cette dernière aurait été tuée par son mari.

Un précédent en 2012

Ce n’est pas la première fois que des jeunes Irakiens sont visés par des crimes de haine car soupçonnés d’être homosexuels. En 2012, 15 jeunes au style “emo” ont été tués dans ce pays “sous prétexte qu’ils étaient homosexuels ou que leur style vestimentaire le laissait entendre”, expliquait alors l’AFP.

A l’époque, un jeune “emo” de 18 ans racontait à France 24: “On nous accuse d’être des adorateurs du diable ou des francs-maçons, ce qui est synonyme d’hérésie aux yeux des conservateurs. C’est surtout à cause de nos coupes de cheveux. Et parce que nous portons des vêtements moulants. Ils disent que nous sommes des homosexuels, ce qui est très mal vu ici”.

 

Source : huffpostmaghreb.com